Avec ses trains pourris, ses odeurs de sueur et d’urine, ses stations aux couloirs interminables et aux escaliers raides, on imaginerait trouver le métro Parisien dans une ville du tiers monde, pas dans celle des lumières. Et le RER B, quand il fonctionne, seul moyen abordable de relier Orly à CDG, laisse, en général, un dernier souvenir poisseux de la capital.
Pour sortir de cette déprime métropolitaine, nous accueillons avec plaisir le projet lagomorphe du photographe Janol Apin. Il interprète les noms des stations à sa manière, déclenchant des sourires nécessaires dans cet univers métropolitains. Ce projet réalisé dans les années 90 est publié aux éditions La carothe. 🙂
Un super cadeau non?