Tout les matins quand je lève les persiennes qui closent la terrasse couverte, j’ai l’impression d’être au cinéma, d’abord c’est le son des vagues se brisant sur le lagon qui augmente, puis le vent, et enfin, un peu ébloui, je vois apparaître deux cocotiers, un manguier, la mer bleue turquoise, le ciel que traversent des pélicans et des frégates.
Et là je me dis que c’est dur la vie.