Chirimoya
Pour manger la Chirimoya, il faut d’abord s’assurer qu’elle est bien mûre, mais pas trop car la fermentation du sucre a vite fait de lui donner un goût désagréable. Elle parfaite quand, à la palpation, elle réagit comme un avocat… Bien mûr.
On la coupe en deux et la mange comme un melon à la cuillère.
Le goût est inhabituel, je devrais dire les goûts, car selon la maturité du fruit on y retrouve simultanément la poire, la mangue, l’ananas et même un peu la fraise. Sa consistance varie, passant de celle de la poire conférence à celle d’une glace crémeuse.
Attention aux nombreuse graines noires qui la truffe, elles sont dures comme des pierres, mais très visible dans cette chair blanche. Donc pas de danger particulier à manger ce fruit, mais évoquer ses graines m’a quand même permis d’écrire cette alerte que je répète ici : attention aux nombreuse graines noires qui la truffe, ce qui ne m’était jamais arrivé auparavant.
Son nom en Français est la chérimole ou annone, mais je préfère Chirimoya. Faites comme vous voulez.